Srebrenica, un mythe bien entretenu.
La version présentée par les médias occidentaux accable les Serbes de Bosnie. Plus de 8 000 prisonniers bosniaques auraient été assassinés de sang-froid lors de la "chute" de Srebrenica en 1995.
Dire que la réalité diffère quelque peu est un euphémisme.
Au début du conflit en Bosnie, près de 300 civils Serbes ont été massacrés dans la ville de Srebrenica. Par la suite, les forces bosniaques ont commis d'autres massacres dans les villages serbes entourant la ville. En tout, plus de 2 500 civils serbes ont perdu la vie dans et autour de Srebrenica de 1991 à 1995.
Quand l'armée des Serbes de Bosnie est entrée dans la ville, les forces bosniaques se sont enfuies. Le général Mladic a lui-même supervisé l'évacuation des civils qui ont été transportés en autobus vers des zones tenues par les bosniaques.
Par la suite, des combats très durs se sont déroulés dans la région. Près de 500 soldats bosno-serbes ont été tués. Les pertes bosniaques ont été beaucoup plus élevées. De plus, il y a eu de sanglants règlements de comptes : entre 500 et 1 000 soldats bosniaques auraient été exécutés sommairement, ce qui constitue un crime de guerre.
Le nombre de victimes bosniaques a été "gonflé", et les faits ayant précédé cette tragédie ont été délibérément occultés. Ce "mythe" est encore entretenu de nos jours pour plusieurs raisons :
-empêcher bosniaques et Serbes de se réconcilier.
-"justifier" l'intervention illégale de l'OTAN en Bosnie.
-ternir l'image des Serbes : il fallait rabaisser le prestige des bosno-serbes, lesquels avaient eu l'outrecuidance de résister victorieusement à l'agression de l'OTAN.
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